Le baron Philippe de Serres est le descendant direct  d’une très ancienne famille française, qui occupe une place privilégiée dans la société dès le XIVème siècle..

Par leurs alliances, ses ancêtres sont aussi les Noguès d’Assat, les Coustalé de Larroque, les Laurens de Saint-Pandelon et les puissants Montaud de Navailles (duc et duchesse d’Aiguillon). Ils s’illustrent par leurs travaux en agronomie et en médecine et se distinguent sur les champs de bataille.

On peut citer :

Bernard de Serres
Maire perpétuel de Dax en 1362 et 1371.
Olivier de Serres (1539-1619)
Agronome , conseiller et ami du Roi Henri IV, souvent cité comme étant le père de l’agriculture et de la viticulture moderne (voir ci-dessous).
Jean-François de Noguès d’Assat (1716-1798)
Maréchal de camp au sein des chevau-légers du roi. Cette compagnie d’élite est la garde rapprochée du souverain.
Jean de Serres (1745-1808)
Chirurgien, chef d’escadron de cavalerie dans l’Armée des Princes.
Brice de Coustalé de Larroque (1812-1882)
Médecin de l’empereur Napoléon III, en service au palais des Tuileries.

Dans cette famille d’humanistes et de serviteurs de la France, le goût du savoir et du travail sont des valeurs constantes. Dans la lignée de ses ancêtres, le Baron Philippe de Serres s’attache à être un entreprenant qui évolue dans son siècle en perpétuant la tradition familiale.

C’est un aquitain qui connaît et apprécie la valeur de la tradition vinicole dans le patrimoine culturel français.

Olivier de Serres (1539-1619), agronome, conseiller et ami du Roi Henri IV, ancêtre de Philippe de Serres, est souvent cité comme étant le père de l’agriculture et de la viticulture moderne, et le fondateur de la notoriété attachée à la viticulture française.

Dans son Théâtre d’agriculture, Olivier de Serres jette les fondements d’une viticulture et d’une oenologie en étroite relation avec les terroirs, mais surtout en accord avec la demande des consommateurs. Il ouvre des voies nouvelles sur la conduite du vignoble et le travail du vin. « L’air, la terre et le complant font le fondement du vignoble […] de leur assemblage provient l’abondance de bon vin, de longue garde, non sujet à se corrompre, et chariable pour la débite : sans laquelle concordance, le vin cloche en quelque qualité ».

« Dans son « Théâtre d’agriculture », Olivier de Serres jette les fondements d’une viticulture et d’une œnologie en étroite relation avec les terroirs. » 16ème siècle – Source : Wikipedia

Fidèle à ses idées naturalistes, Olivier de Serres conseille également de respecter au mieux le naturel des raisins. « Mais d’autant que l’artifice altère aucunement le naturel, fait que les vins sont toujours prisés le plus, que moins on les aura drogués ».
Le Théâtre d’agriculture a fait l’objet de multiples éditions et rééditions qui confirment l’extraordinaire durée de l’influence de l’auteur sur la pensée agronomique française.

Article Wikipedia sur Olivier de Serres : http://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_de_Serres